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Faculté des sciences infirmières


Pavillon Ferdinand-Vandry

1050, avenue de la Médecine
Local 3645
Université Laval
Québec (Québec) G1V 0A6

 

Téléphone: 418-656-3356
Télécopieur: 418-656-7747

Adresse courriel:
Heures d'ouverture régulières:

Lundi au vendredi: 8h30 à 12h - 13h à 16h30
 

Heures d'ouverture du 10 juin au 16 août:

Lundi au jeudi: 8h30 à 12h - 13h à 16h30
Vendredi: 8h30 à 12h30


 

Consultez le répertoire du personnel

 

 

 

 

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Vous êtes employeur et voulez diffuser une offre d’emploi?

Si vous souhaitez diffuser une offre d’emploi pour les étudiants et les étudiantes ou les diplômés et les diplômées de la Faculté des sciences infirmières, nous vous invitons à consulter le site Web du SPLA. Ce service est gratuit. Profitez-en pour découvrir les autres services offerts aux employeurs.

Offres d’emploi du Service de placement (SPLA)

Le Service de placement de l’Université Laval (SPLA) vous offre la possibilité de consulter les offres d’emplois offerts en sciences infirmières et en santé communautaire. L’inscription au SPLA est gratuite pendant toute la durée de vos études et plusieurs services en ligne sont accessibles à vie suivant l’obtention de votre diplôme.
 

Le SPLA vous propose plusieurs autres services, notamment des formations, des activités carrières, du mentorat, les services d’un conseiller ainsi que plusieurs outils en ligne tels que le webfolio, le CV en ligne et l’analyse de marché en sciences infirmières.
 

Louise Gareau: infirmière de combats

Auteur: Bernard Roy

Parution: Avril 2008

 

En tant qu’infirmière, je ressentais ce désir de m’investir dans ces luttes sociales parce que j’avais des demandes précises de femmes qui venaient me voir alors que j’étais au CLSC. Comme infirmière, je me sentais responsable. Ce qui heurtait mes valeurs d’infirmière, c’est lorsque des personnes formulaient une demande et que celle-ci n’était pas écoutée, principalement dans les hôpitaux. Ça heurtait mes valeurs lorsque, par exemple, un couple demandait un accouchement sans violence, conforme à leur choix, à leurs valeurs et qu’il ne l’obtenait pas. Ça me heurtait qu’une femme désirant interrompre une grossesse non désirée ne soit pas entendue, écoutée ou respectée.

LOUISE GAREAU

 

Notre monde risque de mourir par trop d’obéissance. S’il y avait sur cette terre plus de Louise Gareau, plus de gens capables de poser des actes réfléchis empreints de profondes valeurs de dignité et d’humanité, ce risque deviendrait pratiquement nul. Louise Gareau fait partie de ces gens qui ont fait que je me suis senti soutenu dans le combat de ma vie pour la dignité, pour le droit des femmes à pouvoir choisir librement leur maternité et à pouvoir avoir accès librement et dignement à une interruption volontaire de grossesse dans de bonnes conditions.

Dr HENRY MORGENTALER

 

Elle savait tout le sang et toutes les douleurs. Maintenant que je la connaissais un peu, quand je la regardais quitter le bar pour sa villa sur la colline, je me sentais un peu triste. Je mesurais, je voyais la solitude profonde de la militante qui sauve les vies d’inconnus, mais qui possède bien peu de temps pour se préoccuper de la sienne.

GIL COURTEMANCHE

Entretien avec une aidante «surnaturelle». Autonome S'démène pour prendre soin d'un proche à domicile

Auteur: Mario Paquet

Parution: Octobre 2008

 

Ce livre explore la réalité d’une expérience de soins à domicile à travers un dialogue entre l’auteur et le personnage Autonome S’démène, une femme qui prend soin de son conjoint.

 

Ce dialogue a lieu dans un contexte où la situation d’Autonome S’démène est plutôt difficile. Témoin de son cri d’alarme, le lecteur découvrira pourquoi elle est toujours, et plus que jamais, une aidante «surnaturelle», une sorte de femme-orchestre dont l’engagement dans les soins est loin de diminuer, même si la rhétorique politique est favorable à son soutien.

 

Au fil des entretiens, le lecteur se rendra compte que, si Autonome S’démène a certes besoin d’aide, elle a cependant aussi besoin d’être. Cette rencontre avec Autonome S’démène est une invitation à mieux comprendre la réalité complexe d’une héroïne involontaire.

Haïti, pour ne pas oublier (pou nou pas blye)

Auteurs: Nicolas Vonarx

Avec la collaboration de: Sarah Asselin, Sophie Dupéré, Bernard Roy, Fatou Traoré, Mila Minh et Vanessa Vallières

Préface: Dr Yves Bolduc (ministre de la Santé et des Services sociaux)

Postface: Régine Laurent (présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec)

Parution: Janvier 2011

 

Plusieurs mois après le drame vécu par les Haïtiens le 12 janvier 2010, il peut être difficile de se souvenir et de rester sensible aux besoins des millions d’Haïtiens. Illustré de photos très parlantes, ce petit livre nous ramène sur les lieux et nous éclaire, à partir d’un témoignage exceptionnel, sur le quotidien des secours apportés sur place par les infirmières et infirmiers québécois. Il vise à ne pas négliger notre devoir de mémoire quand, spontanément, nous avons si facilement tendance à tourner la page.

 

Si l’aide humanitaire nécessite la mobilisation d’un grand nombre de personnes, elle exige également l’investissement de sommes considérables. C’est pourquoi la publication de cet ouvrage, auquel ont contribué bénévolement plusieurs personnes, a également pour but de recueillir de l’argent destiné à la Croix-Rouge canadienne, à Médecins du monde, Médecins sans frontières et Handicap international, de même que vers le Centre d’étude et de coopération internationale (CECI), cinq organismes de renommée qui travaillent sans relâche à offrir au peuple haïtien des soins, du soutien et du réconfort.

Tome 2: À la rencontre des âges de la vie, des vulnérabilités et des environnements

Sous la direction de: Louise Hamelin Brabant, Louise Bujold et Nicolas Vonarx.

Dans tous les cas, les lecteurs y constateront comment les auteurs soutiennent l’impératif de former, d’instruire et de sensibiliser les infirmières et d’autres professionnels de la santé à une lecture anthropologique et sociologique des situations dans lesquelles ils sont engagés. Ils y verront que l’apport des sciences sociales s’entend souvent dans le champ de la santé comme un plaidoyer pour des pratiques, des interventions et des intervenants qui sachent décrypter et considérer les dimensions anthropo-sociales des réalités, même si elles ne se laissent pas appréhender aisément et rapidement.

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